Nous distribuons les lubrifiants de qualité alimentaire Jax pour les entreprises agroalimentaires. Des idées fausses circulent régulièrement sur les lubrifiants de qualité alimentaire. Nous traitons cinq de ces idées fausses dans cet article.

 

1. Les lubrifiants alimentaires sont de moins bonne qualité que leurs équivalents

Ils imposeraient un intervalle de graissage plus court, dureraient beaucoup moins longtemps, résisteraient moins bien à des températures plus basses ou plus élevées et seraient incompatibles avec les plastiques et élastomères. En conséquence, ils garantissent une productivité inférieure et des coûts plus élevés. Mais ceci n’est pas vrai. Les huiles de base et les additifs certifiés ont été perfectionnés pour être de la même qualité que leurs équivalents industriels classiques.

 

2. Il n’y a pas assez de lubrifiants alimentaires pour toutes les applications de lubrification

Ou la gamme disponible pour l’industrie alimentaire n’est pas suffisante. Il faudrait alors toujours utiliser un lubrifiant non alimentaire, ce qui augmente des problèmes de sécurité et charges administratives. Cependant, tous les types de lubrifiants, des lubrifiants secs aux pâtes filetées, sont désormais disponibles dans des variantes alimentaires.

3. Tous les points de lubrification ne doivent pas nécessairement être lubrifiés avec un lubrifiant alimentaire

Nous trouvons souvent différents points de lubrification dans un environnement de production. Certains se trouvent directement à proximité du processus de transformation des aliments et d’autres sont plus éloignés. Une conceptions erronée répandue est qu’il n’est pas nécessaire de lubrifier les points de lubrification retirés du processus avec un lubrifiant alimentaire. Selon la législation européenne, les entreprises de transformation des aliments sont tenues de préparer un plan HACCP pour détecter tous les dangers possibles pour la sécurité alimentaire et indiquer comment les risques sont contrôlés. Un moyen d’éliminer immédiatement le risque de contamination dû à l’utilisation de lubrifiants incorrects consiste à utiliser uniquement des lubrifiants alimentaires.

4. FDA américaine teste les lubrifiants pour la sécurité alimentaire

Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis est l’agence du gouvernement fédéral américain qui contrôle la qualité des aliments et des médicaments au sens large. Cependant, les lubrifiants ne sont pas inclus car ce sont des composés non alimentaires. Si nécessaire, les fabricants peuvent faire tester leurs lubrifiants conformément aux exigences de la FDA, y compris de l’organisation NSF International. Cette organisation contrôle les lubrifiants selon les règles du 21 CFR §178.3570. Lors de l’acceptation, le produit reçoit un enregistrement NSF-H1, prouvant qu’il est approprié en tant que lubrifiant pour le contact accidentel avec des aliments. Un enregistrement NSF-3H signifie que le lubrifiant est adapté au contact direct avec les denrées alimentaires, dans les limites de la réglementation en vigueur. Les produits certifiés NSF-3H sont, par exemple, extrêmement appropriés pour une utilisation comme produit de démoulage sur les planches à découper et pour la lubrification des hachoirs (à viande) et des crochets de transport (à viande) où le contact direct avec les denrées alimentaires est inévitable.

 

5. les lubrifiants alimentaires peuvent avoir une contamination microbactérienne

JAX est un pionnier dans le domaine des lubrifiants alimentaires depuis plus de 60 ans. Ils ont été les premiers à lancer un lubrifiant alimentaire en 1962, approuvé par le Département des Agricultures des États-Unis. Les lubrifiants JAX sont approuvés par la NSF et sont homologués H1 et même 3H, ce qui signifie qu’ils peuvent entrer en contact direct avec les aliments. Tous les lubrifiants JAX NSF H1 contiennent le conservateur antimicrobien Micronox développé et breveté par JAX. Cet agent protège les lubrifiants contre la contamination microbienne et la dégradation.